Comment les Patator évoluent ?
Mal, très mal. On fait pas mal de concerts, surtout dans la région avec un set basé sur l’album que nous avons sorti l’année dernière, toujours dans le même esprit punk rock nourris des influences de chacun, du métal au blues. On joue ce qui nous plait. Si ça plait à nous, ça plaira à notre public. Et on compose à coté en pensant à un autre album. Mais c’est pour le moment encore en chantier, on n’est pas des violents au niveau de la composition. On les jouera sur scène quand ils seront prêts à être testé en public.
Le groupe existe depuis combien de temps ?
Ca fait la 18ème année du groupe. Il y a eu quelques changements de batteur et de bassistes au fil du temps, des boulots, ils se marient ou des conneries comme ça ! La, on a une chouette équipe, on a envie que ça dure comme ça !
Et comment peut-on imaginer les Patator dans autant de temps ?
Sans problème, toujours la ! On a encore envie de faire plein de choses ensemble, à continuer à jouer la musique qu’on aime. Il y a plein de truc qu’on n’a pas encore fait !
Comment les Patator préparent la rentrée ?
Le cartable est prêt, on va essayer de ne pas pleurer à l’école ! Ca sera samedi soir au Celtic avec Hate Is Back qui fait de reprise des années 80, avec des paroles de français et un rythme un peu plus punk. Et le vendredi de la semaine prochaine, on sera à la keuponnade de Tuzaguet, un week-end de concert punk avec une très belle affiche. On aime beaucoup ce festival et les gens de l’association qui font bouger les choses.