Qui sont les Patators ?
C’est un groupe de punk rock qui joue depuis 17 ans maintenant. On est quatre mais seulement deux à être dans le groupe depuis l’origine. Il y a eu beaucoup de changements, des bassistes et des batteurs qui sont passé et on arrive à quelque chose de plus stable maintenant.
Comment êtes-vous arrivés à cet titre pour l’album ?
Sex, drugs & guacamole, c’était d’abord une blague en repet. C’est devenu un album ! Une formule qui est bien dans l’esprit du groupe avec tout ce que comporte de second degré, d’humour et de dérision.
Que trouve-t-on dans « Sex, drugs & guacamole » ?
Plein de notes ! Et en tout cas du punk assez rapide et des paroles dont certaines ont un message qu’il ne faut pas trop chercher. Ce n’est jamais du premier degré, il n’y a pas de texte moralisateur et on ne va pas expliquer au monde comment ça marche. De la musique avant tout pour s’amuser et se faire plaisir.
Comment avez-vous choisi les morceaux de cet album ?
C’est des morceaux qu’on joue en concert depuis longtemps et qui ont ont évolué sur scène avant d’être enregistré. Il n’y a que devant le public, on voit ce que valent ces morceaux. L’enregistrement a aussi été l’occasion de faire évoluer ces morceaux. Et on joue certains morceaux différemment maintenant. Après il restait à donner à l’album la pèche du live !
Qu’allez faire de cet album ?
Déjà essayer de le vendre, voire si il plait. Et s’en servir pour faire écouter notre musique. On aimerait que ça donne envie de nous programmer à La Gespe ou dans des festivals, que ça nous permette de trouver des dates de concert. Parce qu’on aime surtout jouer face au public.