Etes-vous toujours ce « chanteur de folk blues » ?
Oui, c’est toujours des chansons influencées par la folk et le blues avec des textes en français pour avoir un lien plus fort avec le public.
Vous arrivez cette année avec votre 1er album
On retrouve sur « Avant le départ » des chansons folk et blues que je joue en tournée, certaines depuis trois ou quatre ans, que j’avais envie de fixer sur un support physique. C’est aussi un album qui m’a permis d’explorer d’autres styles. Autant de portes pour le second album !
Vous revenez une nouvelle fois au Pic d’Or. Est-ce important pour vous ?
Oui, c’est important car on y rencontre pas mal de chanteurs et de groupes. Des gens dont je suis l’actualité, que je croise sur la route, et que je retrouve au Pic d’Or.
Abordez-vous de la même façon votre concert devant le public du Celtic et votre audition devant le jury du Pic d’Or ?
Ce n’est pas la même chose. Jeudi soir au Celtic Pub, c’est un concert entier. J’ai le temps de m’installer et d’établir avec le public une communication. Passer devant un jury c’est beaucoup plus impressionnant. C’est aussi beaucoup plus direct, on doit faire passer dans une seule chanson toute la concentration d’un concert entier. Mais une fois que le morceau a débuté, on retrouve nos marques et c’est toujours une chanson devant un public. L’écoute d’un jury est peut-être différente, certainement plus critique, plus instantanée.