Qui sont les Astataboops ?
C’est un trio féminin de chanson d’amour. Il y a Céline Thibaud, la circassienne du groupe. Elle a un peu touché à tout, du Lido, l’école du cirque de Toulouse au Ballet de Marseille avec Marie-Claude Pietragalla. Elle a aussi beaucoup travaillé sur la corde et le clown. Astataboops, c’est aussi Maryline Petioch qui est comédienne, elle est aussi tournée vers les marionnettes et a pas mal travaillé sur des spectacles destinés aux enfants. Et enfin moi qui suis autodidacte qui viens du secteur de l’animation nature. On s’est rencontré, on a des pas mal d’affinité et on s’est mis à travailler ensemble !
Après avoir transformé la Gespe en cabaret l’année dernière, vous vous attaquez au Celtic maintenant ?
Oui ! C’est même la 2nde fois. On aime bien venir dans des petits lieux comme le Celtic car il se passe quelquechose, la proximité avec le public. Le coté cabaret d’Astataboops marche bien dans ce cadre, c’est une forme ou il y a moins de distance entre la scène et le public. Une atmosphère conviviale, intime même, ou les confidences sont possibles. Avec le cabaret, tout est permis !
Jusqu’ou irez-vous ?
On va se balader dans le secteur. On sera le 25 juin au festival Les Montagn'arts, à la Maison du Péré à Arrens Marsous. On va faire les « Marchés musicaux » cet été et à l’automne on va tourner sur Toulouse. Et puis on va penser à ce que la Cie Dévissez vers ça va faire après Astataboops. On va travailler sur un nouveau spectacle à partir de la fin de l’été. Chacune va retrouver ses premières amours : Cécile, la corde, moi la création musicale…