Qui est Sheidow ?
C’est moi ! C’est juste un nom que j’ai pris comme pseudonyme que j’ai pris pour ma musique. Ce n’ai pas un personnage, juste un psudeonyme. C’est un projet que j’ai commencé en septembre 2016, mais ca sera le premier concert. Je viens de sortir un troisième EP qui s’appelle Break et un clip pour le morceau d’un autre EP qui sortira dans une ou deux semaines.
Le Celtic Pub annonce de l’électro. C’est une étiquette dans laquelle vous vous reconnaissez ?
Euf, oui, j’ai fait un set que j’ai spécialement préparé pour ce concert. Un set unique qui ne correspond ni à mes albums, ni a rien de ce que j’ai fait. Donc oui, c’est ça. Et on a préparé une installation lumière avec un ami régisseur pour donner une ambiance spéciale à ce concert et que ca ne soit pas le Celtic de tous les jours.
Quelle est l’espace de l’électro sur une scène tarbaise marquée par le metal ?
C’est vrai que la scène tarbaise et le Celtic dont très rock, et la musique électro n’a pas une grande place, mais c’est l’occasion de se faire entendre et de proposer au public un univers musical après des gens comme Jed Robin qui a fait pas mal d’albums électro, de concerts et la première partie de Chinese Man à La Gespe.
Est-ce le Celtic est une belle scène pour Sheidow
Oui car il y a au Celtic un public qui a une véritable écoute, que je qualifierais d’attentive et bienveillante. Et en plus le son est toujours très bien.
Quels sont les projets de Sheidow ?
C’est un projet que je fais dans ma chambre, sans prétention et sans prise de tête. J’ai envie de continuer à faire de la musique, d’innover pour ne pas me restreindre dans des univers connus et continuer à m’amuser. Je ne me prends pas trop la tête avec la suite, je prends ce qui vient et je fais ce que j’ai envie.