Vous annoncez du punk country folk. C’est un drôle de mélange ?
Non, pas du tout. On n’a pas la crête, le punk c’est l’état d’esprit et les textes aussi. Mais pas du punk électrique, nos morceaux vont plutôt de la country à la folk. On n’a pas calculé, ça s’est fait comme ça. Mais le mieux est de venir écouter !
Le nom de Dickdrops vient d’où ?
Ca c’est un délire ! On cherchait un nom, et on a trouvé que ça sonne bien. On n’a pas vraiment pensé à la traduction, même si au final c’est un clin d’œil à notre origine à tous ! Si vous cherchez le nom du groupe sur Internet, attention à ne pas le taper en deux mots sinon, vous ne trouverez que des sites pornos…
Quels sont les projets du groupe ?
On voudrait enregistrer au début de l’année prochaine avec des nouveaux morceaux et des reprises plus roots d’anciens morceaux. Et ensuite on va continuer à faire de la scène dans le coin ou plus loin dans des festivals ou par des tournées qu’on fait une ou deux fois par an.
Qu’allez-vous nous proposer au Celtic ?
On ne sera que trois car le bassiste ne rentrera de Thaïlande que le lendemain. On va faire un concert très acoustique et roots avec un timple, un instrument des Canaries qui ressemble à un ukulélé et qui sonne comme un banjo. Ca devrait être une bonne soirée car on aime bien le Celtic et son ambiance, ça nous fait plaisir de partager la soirée avec Burn In Hell que nous connaissons déjà et en plus ça sera notre 100eme concert !