Comment présenter les Headcases ?
C’est trois copains qui ont commencé entre 12 et 16 ans à jouer ensemble. Ca a duré pendant 10 ans, on a fait trois albums et un EP de 6 titre. Puis le groupe à splitté en 2007. Et on s’est reformé l’année dernière dans l’esprit d’un cover band de Nirvana pour fêter les 20 ans de la sortie de Never Mind. Et comme ça nous a donné envie de rejouer nos propres chansons, on va faire cette semaine quatre concerts des Headcases. On a même travaillé une nouvelle chanson, histoire d’avoir une nouveauté parmi ces vieilleries.
Vous démarrez cette mini-tournée par le Celtic ?
On commence par Tarbes car on est tous venus au Celtic avec nos autres groupes. Jamais les Headcases car on s’était séparés en 2007. On y a rencontré pas mal de gens sympas, comme Jean-Louis, et il y a un public qui apprécie bien ce qu’on joue. Alors on a eu envie de démarrer cette petite tournée par le Celtic. Après on va jouer à Saintes, à Poitier et on termine par la Nef à Angoulême qui est un peu notre fief.
Et après ?
On n’a pas vraiment discuté de ce qu’on ferrait après. On a tous les trois des projets parallèles, alors on va faire ces quatre concerts sans se poser de questions, juste parce que ça nous fait plaisir de jouer ensemble,
Comment expliquez-vous qu’ils y aient autant d’échanges entre les musiciens des Hautes-Pyrénées et ceux de Charentes ?
On s’est rendu compte qu’on avait pas mal de choses en commun avec des groupes des Hautes-Pyrénées comme les Subcity Stories et d’autres. Ca nous a donné envie de venir jouer ici et de les faire venir chez nous…