Pas de vacances pour le Celtic qui nous propose une semaine bien remplie. Au programme, de la poésie, de la folk et une bonne dose de rock. Notamment avec le concert de samedi soir qui nous proposera un plateau stoner avec les Gasmoney d’Albi et les Whisky & Weed tarbais qui ont répondu à nos questions.
Whisky And Weed
Est-ce le groupe évolue toujours autour du stoner ?
Oui, on est toujours dans le même style, mais on ne s’interdit pas de s’ouvrir a nos influences d’avant ou des nouvelles. L’essentiel est de faire ce qui nous plait !
Lors de la dernière interview, vous veniez de sortir un EP. Ca a produit ce que vous attendiez ?
Ca a été un peu compliqué pour nous cette année, avec des déménagements et des projets perso au niveau professionnel et au niveau familial. Du coup c’est plus les emails que nous avions envoyé il y a un an ou deux qui amènent des concerts. On se voit un peu moins, le rythme des compositions a aussi baissé. Mais on reprend depuis le début de l’année et on réfléchit à un projet d’enregistrement
Et c’est au Celtic que vous reprenez la scène ?
En fait c’est Gasmoney, le groupe d’Albi avec lequel on partage l’affiche qui a demandé à jouer avec nous. Ce qu’on fera avec plaisir car on est dans la musique qu’on aime ! On fait d’une pierre deux coups, on se retrouve, on rejoue au Celtic et on rencontre un groupe qui aime la même chose que nous
Quels sont vos projets maintenant ?
On va continuer à composer et on aimerait enregistrer les morceaux qu’on a déjà en banque. Un autre EP ou un split qu’on ferait avec un autre groupe. On voudrait enregistrer avant la moitié de l’année pour travailler sur la sortie de cet enregistrement sur la suite de l’année
Stéphane Boularand@bigorre_org / ©Bigorre.org / publié le lunes, 9 de enero de 2017
Le programme de la semaine
mercredi : Pedro De La Hoya (One-man-band)
jeudi : Yellow (Chanson-folk)
Vendredi : Thomas Sarrodie (rock)
Samedi (19h) : Gasmoney + Whisky & Weed (stoner)
Dimanche : Zac (Poésie)
mardi 24 février : Whahay (jazz)
Concerts à 20h au Celtic Pub rue de l’harmonie à Tarbes. Libre (mais nécessaire) participation