Alors que les Hautes-Pyrénées sont réputées pour sa richesse en musiques bien musclée, la programmation au Celtic sera plutôt calme cette semaine avec deux soirées jazz, du tango et du théâtre. Heureusement les Southcrowes seront la vendredi soir pour apporter aux hard-rocker leur dose hebdomadaire de décibels. Interview d’Eric Dumora, bassiste du groupe.
The South Crowes
Comment présentez-vous South Crowes ?
C’est un groupe de hard-rock dans l’esprit des années 70. On fait quelques reprises, mais on a surtout nos compositions. On a commencé à jouer ensemble il y a un peu plus d’un an maintenant. Il y a Anthony Romano au chant, Charlie Pontgelard à la guitare rythmique et solo, je suis à la basse et Yves Manceau qui est prof de batterie à l’école Agostini.
Une belle référence !
Et nous, ça nous met la pression ! On a reçu un gros coup de boost quand il est venu se joindre au groupe !
Un rock seventies avec quelles influences ?
On écoute pas mal de hard-rock des années 70 avec des groupes comme Led Zep, Deep Purple et Black Sabbath. Mais aussi des groupes actuels comme les Guns n’Roses. Le guitariste et le chanteur sont de véritables encyclopédies en la matière jusqu’à ce qui se fait de plus actuel.
Quels sont les projets de South Crowes ?
On a envie de jouer déjà ! On sera au Celtic samedi. Ça nous fait particulièrement plaisir car c’est la que nous avons fait notre premier concert, il y a tout juste un an. Ensuite on sera le 5 mai en première partie de Manigance à l’Ampli de Billère, à coté de Pau. Coté CD, on vient de sortir notre premier 6 titres début février et on pense déjà à en enregistrer un second CD pour la fin de l’année car on beaucoup d’idées et on avance bien !
Stéphane Boularand@bigorre_org / ©Bigorre.org / publié le mercredi 19 avril 2017
Le programme de la semaine
mardi : Scène ouverte du conservatoire (jazz)
mercredi : Les Improsteurs (théâtre)
jeudi : Triste Dios (tango)
vendredi : South Crowes + Buskerfly (rock)
dimanche : le Baron Perché (jazz)
Concerts à 20h au Celtic Pub rue de l’harmonie à Tarbes. Libre (mais nécessaire) participation