Que va-t-on voir à la MDA ?
On présente les soirées de la MDA. Ca commence mercredi soir par le groupe d’adultes de Corinne Marsollier qui va jouer une pièce écrite par l’une des membres de l’atelier, Nathalie Iriart, et trois pièces de René de Obaldia, Du vent dans les branches de sassafras, Grasse matinée et A bâtons rompus.
Et vous continuez jusqu’à dimanche !
Il y a cinq soirées qui permettront de voir Le Prince délicat, une version inversée de Blanche Neige présentée par le groupe de Militza Gorbatchevsky, des Saynètes de Jacques Prévert par l’atelier de l’Orchidée-Maborée, des adultes de l’hôpital de jour de Lannemezan, Les petites filles modèles de la comtesse de Ségur et deux adaptations de Suzie Morgensen, les Lettres d’amour de 0 à 10 ans et La première fois que j’ai eu 16 ans avec la classe jazz du conservatoire.
Comment travaillez-vous avec ces jeunes et moins jeunes comédiens ?
Je ne commence pas par le texte. On commence par comprendre l’histoire, voir comment ça peut se transposer théâtralement en faisant des improvisations et seulement après on sélectionne le texte. Ce qui suppose de ne pas vraiment savoir ou on va jusqu’en février. Après les choses trouvent leur place